Un pastiche fait avant les résultats sans en connaître l'auteur.
Le regard de la brune (un pastiche, rien que pour rire)
Il y a des instants légers dû à l’âne,
Revêtu d'une toile de trouillard,
Cette brune du tableau a beau regard,
Au goût très sage, publie d’agencer sa cabane.
Elle enveloppe le tombé avec audace,
La brune gigote les pieds et les poings,
Le visage gris en otage des coups de poing,
Oripeaux tripotés l’instant du couvre glace.
Sa petite capeline la rendant plus belle,
Lui défini en crique le bavard frileux,
Cabas d’armes à l’eau pour les peureux,
Soumission aux flous aériens de la jouvencelle.
L'embonpoint exige de couper la bêtise,
« Il semblerait qu'une ombre bénit son toit,
Des spectres se croisent, au son de voix, »
L’heure ou la frime que dame brune aiguise.
D'après ?***
Le regard dans la brume
Il y a ces temps lourd où l'on plane,
Habillés d'un voile de brouillard,
Cette brume en tableau, des beaux arts
Où, tout paysage oublie de tracer la douane,
Cette enveloppe tombe avec audace,
La bruine ligote pieds et poings,
Le village pris en otage, à coup-de-points,
Cristaux tricotés d'un temps, en couvre-face,
Une immense capeline dans les ruelles,
Cet infini cirque, d'un buvard frileux,
Amas de larmes d'eau sur les cheveux,
Soumission au flou épais de nos prunelles,
L'embrun néglige le clocher de l'église,
Il semblerait qu'une ombre bénit le toit,
Des spectres se croisent, au son de voix,
Le temps de frimas, Madame brume déguise.